Mozart au cinéma

Mozart au cinéma

Avec des extraits des Noces de Figaro, de Don Juan, de la Petite Musique de nuit, de la Symphonie n° 40, du Concerto pour clarinette

Wolfgang Amadeus Mozart
Les Noces de Figaro (extraits)
Don Giovanni (extraits)
Symphonie n° 40 (extraits)
Concerto pour clarinette (extraits)
Requiem (extraits)
Une petite Musique de nuit (extraits)
Adagio et fugue (extraits)

direction Nicola Valentini
baryton Ramiro Maturana
clarinette, 1er solo Jean-Claude Falietti

Concert symphonique

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02 décembre 2025 - 20:00
Paris (75)

Salle des concerts - Cité de la musique

 
Mozart superstar... de la musique et du cinéma !

Sa vie légendaire a inspiré de nombreux biopics comme le mythique Amadeus de Milos Forman mais sa musique accompagne aussi des scènes cultes du septième art. D’Alien à Out of Africa en passant par Le Grand Blond avec une chaussure noire d’Yves Robert, Le Bonheur d’Agnès Varda et bien d’autres films, Max Dozolme (journaliste et producteur à France Musique) nous invite à découvrir à travers des scènes cultes du cinéma comment la musique de Mozart ouvre plus grands nos oreilles et nos yeux...
Un spectacle lyrique, symphonique et cinématographique pour toute la famille, tous les mélomanes et cinéphiles!



Chef d'orchestre et fondateur de l'ensemble « Dolce Concento », chef associé de l'orchestre régional du Frioul-Vénétie Julienne en 2017 et 2018, Nicola Valentini est l'un des jeunes chefs d'orchestre les plus brillants et les plus talentueux d'Italie

Sa rencontre avec Ottavio Dantone a fortement marqué son parcours de formation, qu'il entreprend dès son plus jeune âge, suscitant un intérêt considérable pour la pratique de l'interprétation baroque.
Après ses études classiques, il obtient le diplôme de violoncelle au Conservatoire de Parme, sous la direction d'E. Contini, et étudie parallèlement la composition avec F. Agostinelli et la direction d'orchestre avec G. Serembe à Parme, Pescara et Faenza. En outre, il se consacre à l'étude approfondie et constante de l'interprétation du répertoire vocal et instrumental des XVIIe et XVIIIe siècles sous la direction d'Ottavio Dantone, abordant des pages de compositeurs connus et des partitions inédites, collaborant à des concerts, des enregistrements, des oratorios et, surtout, des opéras.

Il a participé à d'importantes productions au Teatro alla Scala de Milan, à la Fenice de Venise, au Teatro Comunale de Ferrare, au Teatro Alighieri de Ravenne, au Teatro Verdi de Trieste, au Metropole de Lausanne, à l'Opéra National du Rhin de Strasbourg, au Palau de Les Arts de Valence, au Teatro Campoamor d'Oviedo et aux prestigieux Festivals de Glyndebourne et de Salzbourg.

Il a fait ses débuts avec succès en décembre 2010 et a ensuite donné des concerts dans toute l'Europe en tant que chef d'orchestre et violoncelliste, dirigeant divers ensembles avec des instruments modernes et d'époque, notamment : Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino, Opera Orchestre National Montpellier, I Pomeriggi Musicali di Milano, Orchestra Haydn di Bolzano, Orchestra Filarmonica di Brno, Orchestra La Toscanini di Parma, Orchestra Sinfonica Principato de Asturia di Oviedo, Virtuosi Brunenses, Orchestra Sinfonica Rossini di Pesaro, Filharmonie di Brno.

Il a fait ses débuts en tant que chef d'orchestre d'opéra au Staatstheater Oper de Nuremberg avec Ezio de C.W.Gluck en juillet 2012 et a ensuite dirigé Il Barbiere di Siviglia et La Cenerentola de G.Rossini aux théâtres Campoamor d'Oviedo, Jovellanos de Gijòn et au Gayarre de Pampelune, L'isola disabitata de Haydn à Ravenne.

En 2014, il a fondé « Dolce Concento », un ensemble d'instruments anciens destiné à interpréter non seulement le répertoire baroque, mais aussi le répertoire classique et romantique. En 2017, à la tête de son « Dolce Concento », il fait ses débuts au théâtre "Claudio Abbado" de Ferrare avec l'opéra Alceste de Gluck, remportant un grand succès, qu'il réitère l'année suivante avec la mise en scène d'Esther, le premier oratorio anglais de G.F. Haendel.

En 2013, il collabore pour la première fois avec l'Accademia di Bel Canto di Modena, dirigée par la grande soprano Mirella Freni, et dans les années 2014-2015, il en est le directeur musical.
En 2019, il a dirigé pour la première fois un titre de Puccini, Madama Butterfly, dans une nouvelle production au prestigieux Theater Basel, en Suisse.
Au cours des 20 dernières années, il s'est constamment consacré à l'activité de transcripteur et de réviseur d'opéras, d'oratorios, de symphonies, de concerts, d'airs et d'ouvertures, publiés ou non, pour diverses entités internationales, notamment le Teatro del Maggio Musicale Fiorentino, le Teatre Metropole de Lausanne, l'Associazione "De sono" de Turin, Ut- Orpheus.

La grande faveur de la critique et du public l'a fait connaître au niveau international depuis plusieurs années, malgré son jeune âge, en tant que connaisseur expert du langage musical baroque et classique, reconnaissant récemment "un élan nouveau et captivant" qui distingue ses interprétations du répertoire belcantiste et romantique.

Photo © Roberto Recanatesi

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Originaire du Chili, le baryton Ramiro Maturana intègre l’Académie de la Scala de Milan en 2017 et fait ses débuts dans ce théâtre la même saison dans le rôle du Jeune Chanteur dans Ti vedo, ti sento, mi perdo, une création de Sciarrino, Phaor dans Ali Baba et les quarante voleurs ainsi que le Perruquier dans Ariadne auf Naxos. Les saisons suivantes il continue d’y aborder les rôles du répertoire comme Belcore dans L’Elisir d’Amore, Marullo dans Rigoletto ou encore Spinelloccio dans Gianni Schicchi mis en scène par Woody Allen. 
Ces dernières saisons, il chante Don Alvaro dans Il Viaggio a Reims et Taddeo dans L’Italienne à Alger au Festival Rossini de Pesaro, le rôle-titre de Croesus de Keiser avec l’ARCAL à Paris et en tournée, Pictordu dans Cendrillon de Viardot au Teatro Real de Madrid, Belcore au Grand-Théâtre de Genève, le Comte Robinson dans Le Mariage Secret à l’Opéra de Parme et Ténérife, Bello dans La Fille du Far-West à Lyon, Côme et Brescia, Black Bob dans The Little Sweep de Britten à Tenerife, Silvio dans Pagliacci à Taormina ou encore Lescaut dans Manon de Massenet à l’Opéra National du Chili, rôle avec lequel il gagne le prix du cercle des critiques artistiques du Chili. Il chante Papageno dans La Flûte Enchantée au Chili et fait ses débuts au Teatro de la Zarzuela de Madrid dans El Caballero de Olmedo.
Cette saison il reprend Lescaut dans Manon au Teatro Regio de Turin et retourne au Teatro de la Zarzuela de Madrid pour le rôle du Général Putifar dans La Corte de Faraón

Photo © Patricio Melo

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Jean-Claude Falietti

Jean-Claude Falietti Clarinette, 1er solo
Jean-Claude Falietti débute ses études musicales au Conservatoire national de Nice. En 1978, il y obtient un premier prix de clarinette à l’unanimité ; l’année suivante, un premier prix de musique de chambre ainsi que le prix de clarinette de la ville de Nice.

Admis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, il se voit récompensé en 1984 d’un premier prix de clarinette à l’unanimité et premier nommé dans la classe de Guy Deplus, ainsi que d’un premier prix de musique de chambre dans la classe de Christian Lardé.

En 1986, il est lauréat du 42e Concours international d’exécution musicale de Genève où il décroche la deuxième place.

Dès lors, il joue dans différents orchestres : Orchestre de l’Opéra de Paris, Orchestre National de France, Orchestre de Paris, Opéra de Nice, Orchestre de Bretagne, Orchestre d'Auvergne, Opéra orchestre national de Montpellier sous la baguette de chefs prestigieux tels que Seiji Ozawa, Lorin Maazel, Emmanuel Krivine, Charles Dutoit, Kurt Masur, Riccardo Muti, Pierre Boulez, Jeffrey Tate, Ion Marin, Eliot Gardiner, Yoel Levi, Enrique Mazzola…

En décembre 1989, Jean-Claude Falietti s’est vu confier le poste de clarinette solo de l’Orchestre symphonique Français par Laurent Petitgirard (chef et directeur artistique). Depuis le 1er mars 1992, Jean-Claude Falietti est première clarinette solo de l’Orchestre national d’Île-de-France.

Il poursuit également une carrière de concertiste, il a interprété le Concerto pour clarinette de Mozart avec l’Orchestre symphonique Français, le Concerto n°1 pour clarinette et orchestre de Carl Maria von Weber, Duo concertino pour clarinette et basson de Richard Strauss, le Concerto pour clarinette d’Aaron Copland et le Concerto en mi bémol majeur pour clarinette et cordes de Johann Stamitz.

Il obtient en 1998 le certificat d’aptitude aux fonctions de professeur territorial. Il est actuellement professeur de clarinette au Conservatoire municipal de musique et des arts d’Orly et au Conservatoire à rayonnement départemental du Raincy. Jean-Claude Falietti se produit également dans différentes formations de musique de chambre notamment au sein de l’Orchestre national d’Île-de-France.

Photo © ONDIF / Christophe Urbain



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