Interprète « hors norme » (Le Figaro) douée d’une « virtuosité ailée » (Classica), la pianiste Shani Diluka dresse un pont entre Orient et Occident. Née à Monaco de parents sri-lankais, elle est remarquée l’âge de six ans par un programme mis en place par la Princesse Grace de Monaco pour détecter les talents exceptionnels en musique et intégrer l’Académie Prince Rainier III de la Principauté. En 2005, elle intègre la très sélective fondation de Côme présidée par Martha Argerich.
Soliste invitée de nombreux orchestres, son parcours s’est nourrit de collaborations prestigieuses. En parallèle, Shani Diluka poursuit son travail d’écriture auprès des Ateliers Gallimard et avec l’édition de son premier recueil de poésie aux Editions Art3 qui fut choisi dans la liste des prix de l’Académie française.
Shani vient par ailleurs de signer un contrat exclusif en tant qu’artiste Warner Classics monde, devenant la première artiste d’Asie du Sud Est rejoignant ce label de légende comptant la Callas, Barenboim, Rostropovitch ou Karajan et un documentaire lui sera consacré par le grand réalisateur Mark Kidel.
Photo © Balazs Borocz